photo Sous le poids des plumes

Sous le poids des plumes

Danse - Bal - Cabaret, Spectacle comique

Monts 37260

Le 08/11/2025

Quatre danseurs qui, à travers la poésie de leurs corps, plongent dans un monde onirique où viennent s’entrechoquer leurs différents souvenirs de vie. Une succession de saynètes comme autant d’images de la vie quotidienne, douces, drôles, impertinentes, qui mêleront danse, jeu burlesque, théâtre corporel et manipulation d’objets. Les souvenirs font ce que nous sommes, reflètent notre vie, notre identité. Les souvenirs sont également ce qui nous rattachent au temps qui passe. Alors ils s’abîment, se morcellent, tels des plumes qui nous échappent. Alors, sommes-nous vraiment certains de nous souvenir ? Ces plumes qui, quand elles s’envolent, nous font nous souvenir… Mais le temps passe et ces plumes tombent… la vitalité s’estompe. Que nous reste-t-il mis à part ce corps nu, brut, laissant t

photo Assieds-toi comme il faut !

Assieds-toi comme il faut !

Lecture - Conte - Poésie

Loches 37600

Le 24/08/2021

Seul et assis sur une chaise, Jeannot conte son histoire. Il se balance d’un pied sur l’autre, en avant, en arrière, balance la tête, les mains, les jambes, le corps, sans jamais s’arrêter... Parce que se balancer, c’est comme chercher l’équilibre dans le déséquilibre, trouver ce moment magique où tout peut tenir... en équilibre, où chaque chose, chaque pensée, chaque élément est à sa place, juste avant de tomber... dans le vide. Ce conte clownesque plein de poésie et de tendresse est présenté par la Compagnie Fouxfeuxrieux.

photo Rimbaud en feu avec Jean-Pierre Daroussin

Rimbaud en feu avec Jean-Pierre Daroussin

Lecture - Conte - Poésie

Joué-lès-Tours 37300

Le 01/12/2021

En 1924, l’année même où André Breton publie le Manifeste du Surréalisme dans les colonnes du Figaro, on retrouve l’auteur d’Une saison en enfer enfermé dans sa chambre d’hôpital à Charleville. « Cette personne qui parle, qui se prend elle-même pour Rimbaud finit par être un Rimbaud qui voit la dérive du monde, et voit comment le monde se comporte après sa mort… » (Jean-Pierre Darroussin). Vivant il est, plus voyant encore qu’à 20 ans lorsqu’il décide d’en finir avec la poésie. C’est un génie en feu qui s’installe devant nous, hagard, illuminé mais plus flamboyant encore qu’il ne l’a jamais été. Ce n’est plus un corps qui parle, c’est une âme. Rimbaud convoque tour à tour aussi bien son infirmier que Paul Verlaine, Alfred Jarry, Ignace de Loyola…